corps naît
23 juin 2012 § 4 Commentaires
voilà comment emballer le vide… cet esprit fugace se laisse suspendre n’importe où…
Un vol en Dieu,
mais en un Dieu déchiré
et répandu à travers le monde qui, ainsi épars,
continue à chanter par les lions et les rochers,
par les arbres et les oiseaux
dont l’harmonie transcendantale
couvre dans cet état même de déchirement,
la haine destructrice.
Rilke