tétralemme de Nâgârjuna

19 juillet 2010 § 3 Commentaires



 » Où que ce soit, quelles qu’elles soient,

Les choses ne sont jamais produites

A partir d’elles-mêmes, d’autres,

Des deux ou sans cause. »


Tout est parfait depuis toujours.

Tagué :, , , ,

§ 3 réponses à tétralemme de Nâgârjuna

  • Edgarzinho dit :

    aahhhhh ces pistils qui se transforment en personnages !
    Et ce bloc en pierre duquel sort un visage mi-lion mi-humain.
    Keep on going…

  • KO_DO dit :

    Cadeau: “ Dans le moment où l’on suit les sûtras, lorsque nous enquêtons sur la peau, la chair, les os et la moelle de nous-mêmes et au moment où nous nous libérons de la peau, de la chair, des os et de la moelle de nous-mêmes, la fleur du pêcher peut-être vue qui jaillit des yeux eux-mêmes et le son du bambou est entendu comme le tonnerre à l’intérieur des oreilles.“
    Dogen zenji / Jishô zanmai( volume 4, chapitre 75, P.32) Shôbôgenzô

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Qu’est-ce que ceci ?

Vous lisez actuellement tétralemme de Nâgârjuna à journal du dessin rencontre.

Méta

%d blogueurs aiment cette page :