froissé
15 octobre 2017 § Poster un commentaire
il n’y a pas que le linge qui se froisse… moi, pour un oui pour un non, je me mets en boule… je ferme les yeux et j’en découds avec moi-même…
LA ROSE EN SA TÉNÈBRE (7)
Il ne faut pas se saisir d’elle
Il ne faut la donner à personne
Sa propre ténèbre l’entoure
Elle n’a plus de masque
Elle est elle-même son poids
Elle est l’amour qu’elle refuse
Pour la comprendre il faut l’ouvrir
Il ne restera rien qu’un pas imperceptible
De pétales froissés
Elle tremble légèrement
Et ce n’est peut-être pas elle
Jean Tortel
le plus froissé des chemins se réveille
parfois dans l’automne déjà flétri
éloignant devant lui le jour des âmes
le traverse un oiseau que nul n’attend
Herri Gwilherm Kerourédan
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les mots ont été trouvés sur arbrealettres…
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