Mon âme est ardente et le sommeil me fuit; je suis un étranger dans un pays étrange!
Tu murmures à mon oreille un espoir impossible.

Mon cœur connaît ta voix comme si c’était la sienne.
extrait de Tagore « Le jardinier d’amour »
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émoi…
oui et moi… et quoi… avec tout ça…?
douceur certe… tendresse… éphémère…
beau et troublant…
ce texte est en vibration avec le dessin…
avec toi, moi et nous…
et les autres…
aussi sans doute…
même si ils n’ont rien vu, rien senti…
l’air transporte… et dépose…
là ou parfois on ne le penserai pas…
…
a suivre en un courant d’air, ou en un clin d’oeil…!
de l’ombre à paupière au marc de café il n’y a qu’un battement…
A reblogué ceci sur journal du dessin rencontreet a ajouté:
dans le cours de ma grande révision du journal du dessin rencontre, un moment de tendresse… une étreinte fugace…