peu avant midi
8 octobre 2010 § 1 commentaire
se dégage du café
celui-ci comptant ses crêpes
la pensée brûle
quand saigne au loin la rivière
l’étrange arôme de mon existence
8 octobre 2010 § 1 commentaire
se dégage du café
celui-ci comptant ses crêpes
la pensée brûle
quand saigne au loin la rivière
l’étrange arôme de mon existence
Tiens tiens, encore une étrangeté : je me suis justement fait des crêpes, hier soir !
A part ça, merci pour le coup de réveil matin de l’autre jour… Ca m’a fait du bien. On doit toujours trouver un peu de temps pour la poésie !
A plus