Saudoso
24 février 2011 § 2 Commentaires
Saudoso já deste verão que veio,
Lágrimas para as flores dele emprego
Na lembrança invertida
De quando hei de perdê-las.
Transpostos os portais irreparáveis
De cada ano, me antecipo a sombra
Em que hei de errar, sem flores,
No abismo rumoroso.
E colho a rosa porque a sorte manda.
Marcenda, guardo-a; murche-se comigo
Antes que com a curva
Diurna da ampla terra.
Ricardo Reis
On t’a r’connu, Pessoa ! Euh, traduction SVP ? No comprendo… Beaux dessins dont le premier me rappelle la rose du petit Prince : « on ne voit bien qu’avec le coeur, etc. »
pour paraphraser le petit Prince, on ne comprend bien qu’avec le cœur…
petits croquis faits pendant une conférence sur Pessoa…
pas de traduction pour l’instant…
étrange relation que celle d’un « spécialiste » pour son auteur : celle ci ne laissait pas beaucoup de place à l’envie de lire…
tendresse cosmique à toi, good old fellow