du jour
6 juillet 2016 § 2 Commentaires
chacun de nous se laisse aller à la fascination de son propre fantasme… des pieds… un ballon… l’étrange chapelet retrouvé dans un tiroir… et ce dessin fait ce matin dans le bus et le métro…
Sur le tard, je n’aime que la quiétude.
Loin de mon esprit la vanité des choses.
Dénué de ressources, il me reste la joie
De hanter encore ma forêt ancienne.
La brise des pins me dénoue la ceinture;
La lune caresse les sons de ma cithare.
Quelle est, demandez-vous, l’ultime vérité?
Chant de pêcheur, dans les roseaux, qui s’éloigne…
Wang Wei
J’aime ! Nous sommes des êtres qui avons besoin de sacré d’où le besoin de ritualiser et puis à chacun son doudou !
le téléphone portable un doudou ? je n’y avais pas songé mais c’est très pertinent… merci d’aimer…