l’éventail
26 mai 2013 § Poster un commentaire
à quoi me serviras-tu quand je ne respirerai plus ?
Le vent. Le vent profond et noir. Or le vent immobile.
Très proche infiniment du centre, interrogeant l’obscur, avec une respiration inquiète, et des images sans images.
Qui suis-je, en cette chambre ? Il est un échange équivoque où tremble, dans l’espace des murs simultanés,
le présent simple.
Jean Laude
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