en douceur avec vous
24 novembre 2015 § Poster un commentaire
pour Carmen et ma maman …
[…]
Douceur de ce silence et de ne plus savoir
S’analyser et d’être à ce point qu’on croit voir
Des fils d’ombre dans la chambre de sa mémoire
Descendre et se confondre en une tache noire
Comme la toile d’une araignée où l’essor
Des songes va finir son vol de mouches d’or.
Et tout s’éteint ! Plus de rêve qui se dévide !
Douceur ! penser du vague et regarder du vide !
Georges Rodenbach
Votre commentaire